Comme toute monnaie de collection potentielle, même une pièce de 2 euros peut avoir un impact culturel lié à une rareté évidente. Cependant, un œil qui n’est pas familier avec la numismatique peut ne pas remarquer certains détails pertinents.

Outre les « grandes nations » traditionnelles qui utilisent aujourd’hui l’euro, d’autres, notamment celles de taille réduite et d’extension territoriale mais qui conservent un poids politique et social compréhensible et important, ont le droit d’utiliser leurs propres versions de l’euro.

Parmi ceux-ci, même au Vatican qui, comme par le passé, utilisait sa propre « propre » lire, bien que compatible avec celle italienne (une situation similaire à celle de Saint-Marin, restant dans notre pays), depuis 2002, le Saint-Siège a a eu recours à ses propres émissions d’euros très reconnaissables. Beaucoup présentent les effigies des différents papes et dans plusieurs cas, des symboles de l’Église catholique sont alternativement présents.

Le Vatican utilise également des pièces commémoratives de 2 euros qui semblent être des émissions particulièrement intéressantes pour une réalité comme le Vatican : aujourd’hui, de manière générale, il y en a plus de 400 sur tout le continent, mais celles du Vatican étant beaucoup plus rares, elles sont souvent plus visibles. pour les autres.

Un exemple est la rare pièce de 2 euros dédiée au 500e anniversaire de la Garde Suisse, corps de protection historique du Pape depuis des temps très anciens.

Selon la tradition, les gardes suisses constituent le dernier bastion de la défense du pontife même si aujourd’hui elles ont une forme traditionnelle de fonction corporative et symbolique également grâce aux armures colorées voyantes et fascinantes.

Ce n’est pas un hasard si sur cette émission il y a un garde suisse qui prête le serment typique. L’émission est à la fois très intéressante et rare, car elle vaut de 50 à 200 euros si elle est en excellent état.